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Pour qui ?
Pour vous et tous ceux qui en ont envie !
... et tant pis pour les autres ...
Introduction

Il n'y a pas vraiment de limite d'âge pour voler en parapente biplace. La volonté est un bon moyen pour se fixer des limites. Celui qui a envie de voler se fera certainement plaisir, alors que celui qui se force, gardera une mauvaise appréhension et ne profitera pas des sensations qu'apporte le vol en parapente. Ecouter ou regarder les autres peut vous aider à faire le premier pas et comme le dit l'adage : "...l'appétit vient en mangeant..."

Du plus petit au plus grand, du plus jeûne au plus vieux, tout le monde peut profiter de cette sensation unique d'approcher les oiseaux dans leur élément. Les contraintes physiques ne sont pas une entrave à la pratique du parapente accompagné. Il suffit de prendre toutes les précautions nécessaires, de choisir un lieu et des conditions adéquates pour réussir un vol parfait. Aujourd'hui, grâce à un matériel adapté, quasiment toute personne peut envisager de faire un ou plusieurs vols en parapente biplace. Pour vous en convaincre, consultez le site de l'association Free Mouse.

 

Questions

> Dès quel âge peut-on faire un vol en parapente biplace ?

L'âge n'est pas un problème ; c'est comme pour plein d'autres choses, c'est l'envie (et la raison) qui doit vous motiver à venir voler. Les petits enfants sont souvent légers et le poids peut être une vraie contrainte en fonction des conditions atmosphériques. En cas de conditions soutenues, il est fortement déconseillé de voler avec une personne légère, à moins de disposer d'un parapente aux dimensions adaptées. Néanmoins, lorsque les conditions sont réunies, voler avec des enfants ou des adolescents est souvent très motivant et enrichissant. Un accord parental écrit est exigé pour la prise en charge d'un passager mineur.

> Jusqu'à quel âge peut-on faire un vol en parapente biplace ?

Dans le cadre d'un vol conventionnel sans assistance, il n'y a pas de réelles contraintes, hormis les phases de décollage et d'atterrissage, où un minimum de mobilité (pouvoir marcher rapidement) est nécessaire. Là encore, le choix du lieu et les conditions dicteront des possibilités de voler ou pas en regard aux aptitudes physiques de chacun. Dans le cas où le passager ne peut se mouvoir facilement, il faut s'organiser pour être aidé par deux personnes au décollage, afin de porter le passager dans la phase d'accélération ; l'atterrissage ne pose pas de problème, car le passager peut rester assis.

 
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